"C'est encore difficile de survivre dans le foot féminin"
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A l'occasion de la Journée Internationale des Droits de la femme, les Red Flames font le point sur l'évolution du foot féminin dans le monde. Et leur constat est limpide: la situation évolue favorablement, mais il y a encore des améliorations à apporter.
Oui, la popularité du football féminin au quatre coins du monde est de plus en plus grande. "Nous comblons de plus en plus notre retard par rapport aux hommes", estime par exemple Julie Biesmans dans ce petit clip diffusé sur le compte Twitter des Red Flames.
Même constat pour Janice Cayman. Même si... "C'est clair que le football est dominé par les hommes, mais les femmes y ont gagné leur place aujourd'hui. Mais "il y a une grande marge de progression et j'espère que l'évolution ne s'arrêtera pas", ajoute-t-elle.
Car même si le football féminin se professionnalise aux quatre coins du monde, il est encore difficile d'en vivre aujourd'hui, comme l'explique Yana Daniels: "Certaines femmes peuvent vivre de leur sport, mais pas vraiment faire des économies. C'est encore difficile de survivre dans le foot féminin aujourd'hui", conclut-elle.
? Today ? International Women’s Day !
— Belgian Red Flames (@BelRedFlames) 8 mars 2019
? Is football still a man’s world? ?
? @JulieBiesmans4 @janicecayman @Daniels_Yana#WePlayStrong#BalanceforBetter #IWD2019#WEURO2021 pic.twitter.com/R8VbVLjCiS