Genk explique pourquoi ils veulent une contribution de la part de certains : "Il est logique que ces clubs soient solidaires"

Erik Gerits, le CEO de Genk s'explique : "Je tiens à souligner qu'à peine 29 journées sur 40 ont été disputées. Cela représente 72 % des matchs. Mais en réduisant de moitié les points au début des playoffs 1, à peine 58 % des points ont été gagnés. Nous ne pensons pas que cela puisse déterminer la distribution des billets européens", dit-il dans Het Belang van Limburg.

"Si le Conseil de sécurité nationale décide que nous devons mettre fin à la compétition, qu'il en soit ainsi. Mais nous pensons qu'il est logique que les clubs qui ont l'avantage européen de mettre fin prématurément à la compétition se montrent solidaires, entre autres, des clubs qui n'ont pas pu défendre pleinement leurs chances. Qu'ils partagent un pourcentage correct du revenu européen avec le reste".